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Ahora que parece que habrá Paz

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Mensaje por Admin Miér 4 Feb - 22:30

Merce escribió:Merci beaucoup pour cet article excellent.
Bien je connaisse deja tous les details de l'article, j'ai eu beaucoup de plaisir a le lire. Cela m'a ramene a tellement d'annees
en arriere, quand mes parents et autres membres de ma famille parlaient de tous ces debuts. Quand des cousins germains a mon pere z'l, qui habitent a Beer Sheva, ont emigre en israel clandestinement, et sont tombes au milieur de la guerre de l'independance.
Et tellement d'autres histoires, mes experiences personnelles en Israel, comme etudiante infirmiere juste 1 mois apres la guerre des 6 jours. J'ai connu beaucoup de Libanais en travaillant dans des moshav a la frontiere libanaise, je me suis fais beaucoup d'amis alors. Je ne sais plus ce qu'ils sont devenus, cela fait tellement longtemps. Et des bedouins en quantite aussi, je les soignais, leur rendez visite dans leur tente avec d'autres amis israeliens. J'adorais ecouter leurs histoires pleine de sagesse en buvant un the noir tres fort et doux ou un cafe noir avec hel, au parfum delicieux.

Merche,

Merci de ce témoignage. J'aime beaucoup lire Metula car on a d'autres visions des choses, il faut y être abonné pour tout lire parfois... mais bon... celui d'aujourd'hui est très bon aussi :

http://www.menapress.com/




Nous l’avions écrit durant le conflit à Gaza, en dépit des morts et des destructions, malgré l’émoi – d’ailleurs fortement exagéré – que Plomb fondu a suscité à l’Ouest, la vraie menace vient d’Iran. L’Iran qui arme et dirige le Hezbollah et le Hamas, et qui dispose d’une influence certaine sur le régime des Al Assad en Syrie.



Nous avions prévu qu’Israël aurait à se pencher sur la menace perse en pleine période électorale et nous y sommes. Hier, le favori dans les sondages, Binyamin Netanyahu, a répété que l’Etat hébreu, sous sa direction, ne laisserait pas Téhéran acquérir la capacité nucléaire, même si cela signifiait la nécessité d’une opération militaire.



Promesse électorale, certes, mais le gouvernement qui sortira des urnes devra, avant toute autre préoccupation, définir une position face à la menace des ayatollahs. Le lancer réussi de la fusée Safir Omid (l’envoyé de l’espoir (sic)), hier, par les Iraniens, replace la question au sommet de l’ordre des importances des sujets à traiter par Jérusalem.



Vue d’une autre partie du monde, l’entrée de l’Iran dans le cercle fermé des neuf pays ayant placé, par leurs propres moyens, un satellite sur orbite, génère une profonde inquiétude dans les capitales européennes.



Car le Vieux continent est au moins autant visé qu’Israël, que les djihadistes n’ont jamais considéré autrement que comme la tête de pont de l’Occident au Moyen-Orient.

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Ahora que parece que habrá Paz Empty El odio a Israel MARCOS AGUINIS

Mensaje por Merce Miér 4 Feb - 13:02

Merci beaucoup pour cet article excellent.
Bien je connaisse deja tous les details de l'article, j'ai eu beaucoup de plaisir a le lire. Cela m'a ramene a tellement d'annees
en arriere, quand mes parents et autres membres de ma famille parlaient de tous ces debuts. Quand des cousins germains a mon pere z'l, qui habitent a Beer Sheva, ont emigre en israel clandestinement, et sont tombes au milieur de la guerre de l'independance.
Et tellement d'autres histoires, mes experiences personnelles en Israel, comme etudiante infirmiere juste 1 mois apres la guerre des 6 jours. J'ai connu beaucoup de Libanais en travaillant dans des moshav a la frontiere libanaise, je me suis fais beaucoup d'amis alors. Je ne sais plus ce qu'ils sont devenus, cela fait tellement longtemps. Et des bedouins en quantite aussi, je les soignais, leur rendez visite dans leur tente avec d'autres amis israeliens. J'adorais ecouter leurs histoires pleine de sagesse en buvant un the noir tres fort et doux ou un cafe noir avec hel, au parfum delicieux.

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Mensaje por Admin Dom 25 Ene - 19:22

Paroles d’ami
(info # 012401/9) Par Stéphane Juffa Samedi 24 janvier [12:14:00 UTC]

http://www.menapress.com/article.php?sid=2320


Une frégate française pour surveiller la contrebande au large de Gaza. C’est sans doute en décidant d’envoyer cette embarcation, hier, que Nicolas Sarkozy entend respecter l’engagement solennel et écrit, qu’il a signé avec d’autres dirigeants européens, de faire cesser le trafic d’armes sous la frontière égypto-gazaouie.

A la Ména, la quasi-totalité des analystes, rédacteurs et reporters est constituée d’amis du président français. Il y en a même un qui lui a servi de conseiller particulier en matière d’économie, quand il était au seuil de l’Elysée.

C’est donc en amis véritables, que nous lui demandons de lire attentivement cet article, car, entre amis - la formule lui appartient -, on doit tout se dire, même les choses qui sont difficiles à entendre.

Pendant que je m’apprête à réclamer à M. Sarkozy un peu de consistance entre ses propos et son action, les islamistes de Gaza réparent les tunnels qui les avaient approvisionnés en armes et qui avaient condamné, huit années durant, au supplice quotidien, leurs paisibles voisins.

Ca n’est pas la Ména qui rapporte les travaux de réfection de ces galeries de la guerre, mais les fondamentalistes eux-mêmes. Ils distribuent des images à qui veut bien les diffuser des passages souterrains qu’ils rafistolent et des premiers lots qu’ils ont ramené d’Egypte.

Ils permettent même à des reporters occidentaux de descendre à la mine et de se faire filmer dans les tunnels ; à la condition, cependant - avec le Hamas, c’est donnant-donnant -, qu’ils affirment aux téléspectateurs que ces boyaux ne servent qu’au transport des marchandises licites, contrairement à ce que prétendent ces monstres d’Israéliens.

En illustration de ce qui précède, les commissaires politiques de la Résistance Islamique ont placé des camions-citernes, en train de faire le plein, au bout d’un tuyau qui s’enfonce dans la terre.

Et les cameramen occidentaux ne se font pas prier pour filmer ces remplissages bon-enfants. Ce qu’ils ignorent, c’est que l’armée de l’air des Hébreux avait volontairement laissé intacts les conduits de carburant, afin qu’ils ne provoquent pas d’explosions côté égyptien.

Il ne viendrait pas à l’idée de l’un de ces journalistes d’une espèce nouvelle de se demander : "si les tunnels de Rafah ne servent qu’au transport de vivres, d’où sont donc venues les quatre mille roquettes que leurs hôtes ont balancées sur les populations israéliennes ?".

Encore moins d’interroger lesdits hôtes à ce sujet ; les TV ne sont pas à Gaza pour se fâcher avec le Hamas. Ni pour faire de l’information.

Reste que le trafic s’organise et que c’est une évidence. Sami El Soudi, notre expert en matière de ces creusements et des transports qu’ils occasionnent, a écrit qu’il ne faudra pas plus de quelques semaines au Hamas pour reconstituer l’ensemble de son potentiel de nuisance.

Il expliquait également que le Sinaï égyptien est un immense dépôt d’armes en transit, achetées par les islamistes, et que les saisies effectuées par l’armée de Hosni Moubarak sont insignifiantes.

Selon El Soudi, toujours, l’armée du raïs ne lui obéit pas. Mais qui jetterait la pierre à ces soldats : risquer de tomber dans un trou profond ou de se retrouver nez-à-nez avec un terroriste-terrassier-kamikaze pour trente euros de solde par mois… il faudrait avoir mangé du sable. D’autant que cela rapporte beaucoup plus de fermer les yeux.

Les Israéliens, dans le but d’aider Moubarak à tenir ses promesses, l’ont autorisé à déroger aux conditions de l’accord de paix entre Jérusalem et le Caire, et à envoyer mille deux cents militaires supplémentaires à Rafah. Ceux-ci viennent s’ajouter aux sept cent cinquante Rambo qui étaient déjà en place.

Les anciens appartiennent à la police des frontières égyptienne, les nouveaux à l’armée régulière : la belle affaire ! Pour dix dollars, les habitants de la Rafah méridionale (égyptienne) sont prêts à vous montrer autant d’orifices d’entrée de tunnels que vous le désirez. Sauf certains, qui aboutissent au sein même des campements des caïds en uniforme du pharaon Hosni. Dans tout le Proche-Orient, il n’y a que Moubarak qui ignore où ils se trouvent. El Soudi en a visité une trentaine.

Monsieur Sarkozy, les Egyptiens n’ont pas la capacité de faire cesser le trafic. Monsieur Sarkozy, ils le savent ! Monsieur Sarkozy, votre frégate serait plus efficace dans la baie de Toulon reconvertie pour la pêche à la sardine : d’après nos sources, et vous savez qu’elles sont bonnes, ce sont moins d’un demi pourcent des équipements militaires parvenus à Gaza qui sont arrivés par la voie maritime ; lors, à moins que votre bâtiment ait des capacités amphibies…

L’immobilisme d’Ubu Moubarak est à ce point pesant, que, pendant que vous décidiez l’envoi du Petit Baigneur, lui dénonçait l’accord passé entre Mesdames Livni et Rice, destiné à dépister les armes promises au Hamas avant même qu’elles ne parviennent en Egypte.

Un accord qui ne provisionne même pas le déploiement, ne serait-ce que d’un seul GI, sur le sol sacré de feu la belle Cléopâtre.

La situation en cours à Rafah va mener à un nouveau conflit, cela ne fait aucun doute. Israël, dans l’esprit qui l’habite actuellement, ne va pas laisser Hanya et Jabaari recomposer leur arsenal après que les Hébreux se soient employés à le détruire. D’ailleurs, quel être humain sensé et non antisémite pourrait leur en vouloir…

Or M. Sarkozy a déclaré aux dirigeants israéliens que l’opération Plomb fondu était une erreur. "Qu’on ne résolvait aucun conflit par la force".

Quant à ce que Sarko a déclaré à l’occasion de la rencontre de Sharm El-Cheikh, personne n’en a une idée précise, la télévision égyptienne ayant mis fin à son direct immédiatement après l’intervention initiale de M. Moubarak. Peu lui chaut, à la TV des bords du Nil, que le président français était coprésident de la réunion.

De toute façon, l’importance n’est plus aux bavardages si l’on entend sérieusement éviter une nouvelle guerre. Faute de quoi, le réarmement du Hamas va, dans quatre à cinq jours, ressembler à s’y perdre à celui du Hezbollah au Liban.

Un réarmement effréné, qui met en danger tout l’équilibre du Moyen-Orient, que la résolution 1701 du Conseil de Sécurité, déjà propulsée sur l’avant-scène par les prédécesseurs de Nicolas Sarkozy, dans l’hystérie de la pseudo-nécessité de mettre fin à la pénultième intervention de Tsahal, stipulait formellement devoir empêcher.

Chirac et Villepin avaient, dès après l’adoption de la 1701, œuvré prestement afin que le contingent censé la faire respecter ne se mêle surtout pas de mettre un terme aux envois d’armes aux sbires de Hassan Nasrallah.

(suite.... )
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Mensaje por Admin Dom 25 Ene - 19:20

Ils ont ainsi précipité le Liban dans les bras tentaculaires de Téhéran et joué un tour pendable aux Israéliens. Mais il est vrai que Chirac et Villepin ne s’étaient jamais portés garants, eux, de la sécurité de l’Etat d’Israël, de son droit à la légitime défense et à l’existence.

Si j’étais 1er ministre d’Israël, j’aurais demandé à l’ONU qu’elle fasse respecter la résolution 1701 avant d’accepter d’entrer en matière sur la cessation de mon feu. Mais je ne suis qu’un modeste analyste à la Ména, et Ehoud Olmert est encore président du Conseil. Pour dix-sept jours, heureusement.

Mon ami Nicolas Sarkozy, notre ami, son ami, leur ami, qui vous a donc mis en tête, qu’en dernier recours, contre des terroristes, après s’être retenu pendant huit ans, après avoir passé outre ses principes et signé une trêve avec eux, après qu’ils aient décidé de ne pas la reconduire, après qu’ils aient noyé vos concitoyens sous un déluge de feu, l’emploi de la force n’était pas la seule solution praticable ?

Quel moyen préconisez-vous pour protéger les habitants de Sdérot et de Beer-Sheva ? De l’émergence d’une métastase iranienne à soixante-dix kilomètres de Tel-Aviv et de Jérusalem ?

La contemplation ? Le missionnariat ? Ou la politique de l’autruche ?

Etes-vous certain du succès de ces méthodes ?

Je n’imagine pas, Monsieur le président, serait-ce pour vous taquiner, que vous nourrissiez de l’estime à l’égard du Hamas, même si, avec Bernard Kouchner, vous avez objectivement été l’une de ses bouées de sauvetage.

Hamas, qui vient, en pleine guerre, de réintroduire la crucifixion, le démembrement des voleurs, la flagellation publique des femmes infidèles et des détenteurs d’alcool ; et qui vient, aussi, de massacrer des dizaines de sympathisants du président Abbas, au prétexte qu’ils collaboraient avec Israël. Mais, en vérité, pour se venger sur des êtres à leur merci d’avoir si pitoyablement résisté à l’avance des Hébreux. Ce genre de sacrifices, suite à une débâcle, appartient à la tradition chez les Veules et autres Barbares.

La force est toutefois un moyen efficace de changer les statuts-quo politiques : regardez au Liban, la 1701 et son mode de non-application ont permis aux séides d’Ahmadinejad de phagocyter, par les armes, et elles uniquement, le gouvernement porteur des espoirs d’une majorité de Libanais. Les armes du Hezbollah, régalées par la Syrie et l’Iran – les mêmes fournisseurs qu’à Gaza - ont permis de faire taire pour longtemps les voix des chrétiens, des sunnites et des Druzes.

Vous n’êtes pas le président de la Croix Rouge, Monsieur Sarkozy, mais celui de la France. Vous avez lourdement erré, en signant un engagement que vous n’avez pas les moyens de tenir, et en persuadant Israël, par ce document, et la pression que vous avez levée contre elle, de sauver les têtes du Hamas.

Vous saisissez certainement la différence qui existe entre un vœu et un engagement, je ne vous ferai pas l’affront d’en douter. Emettez autant de vœux que vous le voudrez mais respectez vos engagements ! Les hommes sages ne s’engageant qu’à ce qu’ils peuvent tenir. Les autres, quand ils étaient présidents, furent à l’origine des plus grands carnages de l’histoire récente.

Monsieur le président, en sauvant le Hamas, vous avez mis en danger l’existence des enfants d’Israël et aussi celle des enfants de Gaza.

Vous avez demandé à Shimon Pérès s’il pensait que Plomb fondu renforçait l’aura de Mahmoud Abbas. Et vous affirmiez que la réponse négative allait de soi.

Permettez-moi de vous dire, Nicolas Sarkozy, qu’à la Ména nous avons reçu un plein carton à chaussures de requêtes de dirigeants palestiniens nous implorant d’écrire des articles afin que Tsahal n’interrompe pas son action avant l’éradication du Hamas.

Et un autre, plus plein encore, de critiques parce qu’Israël ne l’avait pas fait !

Je n’éprouve cependant aucune sympathie particulière pour ces correspondants : tandis qu’ils nous imploraient littéralement de "finir le Hamas", devant les caméras, ils qualifiaient l’action d’Israël de massacre et de génocide.

S’ils avaient tenu un seul langage, s’ils s’étaient joints à l’opération israélienne - comme le suggéraient depuis des mois Sami El Soudi et un petit groupe de ses amis -, ils seraient maintenant à deux doigts d’obtenir leur Etat.

Dans la réalité que nous connaissons, avec le Hamas toujours en situation de revendiquer le pouvoir à Gaza, les chances d’assister à la création d’un Etat palestinien dans un proche avenir sont inexistantes. Ce, à moins que Khaled Mashal, qui claironne partout, ces jours, que le Hamas a vaincu Israël militairement, soit soudain touché par la grâce terrestre et qu’il échange son keffieh de djihadiste contre la toge d’un humaniste de passage.

Au niveau des probabilités statistiques, il y a plus de chances pour que le prochain président élu en France soit noir ou arabe…

La stratégie c’est aussi la science de prendre aujourd’hui les décisions difficiles, qui, demain, doivent mettre les humanitaires au chômage. Les plus mauvaises décisions étant celles qui coûtent des morts innocentes aujourd’hui, et qui en promettent, de plus nombreuses encore, certainement, demain.
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Mensaje por Admin Lun 19 Ene - 0:49

Por qué tanta tirria
En los tiempos de la postmodernidad importa cada vez menos por dónde pasa lo bueno y por dónde lo malo. ¿Interesa, por ejemplo, que los jóvenes israelíes sueñen con ser inventores y científicos, mientras los jóvenes de Hezbollah y Hamás sueñen con ser mártires? No, no interesa. ¿Interesa que en Israel no se enseñe a odiar a los árabes, que constituyen el 20 por ciento de su población y viven mejor que en cualquier otro país árabe, mientras entre los árabes son best seller Los protocolos de Sión y Mein Kampf, y en la TV egipcia se haya difundido una serie vomitiva donde los judíos extraían la sangre de niños árabes para sus bárbaros rituales? Tampoco interesa. Lo único que interesa es que los árabes y palestinos parecen más débiles frente al poderío de Israel. La víctima es el débil, el poderoso el victimario, al margen de otras razones. De ahí que se permita cualquier cosa a los palestinos y otros árabes, y se condene cualquier respuesta de Israel.
Sin embargo, Israel es el país más vulnerable del planeta, rodeado por un mar de fundamentalistas, predicadores alucinados y dictadores que ansían barrerlo del mapa. Desde antes de su independencia fue acosado, no tanto por su carácter judío, sino por ser el afluente de la modernidad y el progreso, la democracia, el pluralismo, la tolerancia, la libertad de prensa, la justicia independiente, la alternancia del poder, los derechos humanos e individuales. Ganó premios Nobel en ciencias y literatura, inventó eficaces sistemas de irrigación, educó artistas eminentes, aportó descubrimientos a la biología. Sobre todo, está cansado de guerra. Ya son varias las generaciones de estoicos ciudadanos que defienden el país con una mano y trabajan con la otra. Israel siempre quiso ser Atenas y la obligaron a ser Esparta. Pero la absurda postmodernidad no lo tiene en cuenta.

¡Cuidado con la exportación del conflicto!
Hezbollah desea exportar el conflicto del Medio Oriente al resto del mundo. Ya lo hace en varios países de América Latina, donde sus comunidades árabe y judía han mantenido una ejemplar fraternidad. Quiere exacerbar el antisemitismo mediante el odio a Israel y explotar los lazos familiares y de afecto que tienen los judíos con ese país. Hay que denunciarlo e impedirlo. No queremos que corra sangre entre los latinoamericanos por algo que tendrá que resolverse a miles de kilómetros de distancia. Cada comunidad es dueña de cultivar sus tradiciones y cultura o de manifestar sus adhesiones o dolor, pero de ninguna manera agredir a los demás ciudadanos.

El odio a Israel tiene como consecuencia inevitable el odio a los judíos, no nos engañemos. Basta leer la Carta de Hamás o las declaraciones de los líderes iraníes. O recordar los atentados contra la embajada de Israel y la AMIA en Buenos Aires, que mataron a más de cien civiles por el solo hecho de andar por ahí. Sería el más grosero de los bochornos que los argentinos dejasen a un lado las dolorosas fechas del 17 de marzo de 1992 y el 18 de julio de 1994 para dar acogida a quienes perpetraron esos crímenes, cometiendo los primeros ataques terrorista-suicidas en América.

En consecuencia: ¡No a la exportación del conflicto! ¡No al odio!
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Ahora que parece que habrá Paz Empty Algunos puntos desde Argentina..2006 !

Mensaje por Admin Lun 19 Ene - 0:48

Parce que se aplica perfectamente a lo ocurrido ahora !

http://www.aguinis.net/articulos_plantilla.php?v=164

19 de Agosto de 2006
El odio a Israel MARCOS AGUINIS

WASHINGTON. En un reportaje a una nena árabe saudita de tres años y medio le preguntaron si odiaba y dijo que sí, que odiaba a los judíos. ¿Por qué? Porque son monos y cerdos. ¿Quién lo dice? Lo dice el Corán. Es verdad que el Corán lo dice, pero como todo libro religioso extenso, escrito en circunstancias históricas determinadas, exhibe expresiones contradictorias, algunas durísimas y otras más dulces que la miel. Igual sucede con la Biblia. Corresponde a los hombres interpretar esos textos y enfatizar sus contenidos nobles. Un imam de Los Angeles, por ejemplo, ha llegado a decir algo impresionante: ¡el Corán es sionista! ¿Por qué? porque en una Sura afirma que Alá ordenó a Moisés que llevase a su pueblo hacia la Tierra Prometida; en otro versículo Alá ordenó a los israelitas no ceder esa tierra. Mahoma tuvo relaciones contradictorias con las tribus judías de Arabia, por momentos de fraternidad y por momentos de guerra, por eso las indicaciones opuestas.
Históricamente el odio a los judíos fue más intenso entre los cristianos que entre los musulmanes. Los cristianos acusaban a los judíos de ser "los asesinos de Dios", los musulmanes sólo de haber enmendado la Biblia para que no figurase el anuncio de la llegada de Mahoma. Ambos son hechos deleznables, pero más horrible, desde luego, el primero. Si pudieron "asesinar a Dios" –como se predicó durante centurias desde casi todos los púlpitos, por lo cual pidieron un vibrante perdón Juan XXIII y Juan Pablo II-, no los frenaría ningún crimen. Se los acusó de envenenar los pozos cuando había una peste (y se carneaba entonces judíos con entusiasmo enérgico), se los acusó de utilizar la sangre de niños cristianos para amasar el pan de la Pascua (¡?) (y nació el delirante y repetido libelo del crimen ritual, que llevaba a renovadas y jubilosas matanzas), fue el Shylock voraz por una libra de carne humana, fue el judío pobre que se despreciaba por sucio y débil o fue el judío rico que se rapiñaba sin culpa, fue el personaje siniestro de Los Protocolos de los Sabios de Sión que redactó la policía secreta del Zar para estimular los pogroms, fue El Judío Internacional del resentido Henry Ford, fue el Mein Kampf de Hitler, donde prometía hacer lo que finalmente hizo ante la indiferencia de la civilización, fue Auschwitz.

El plan siniestro
El plan nazi de encerrar a todos los judíos del mundo y exterminarlos como si fuesen cucarachas en base a un odio sedimentado durante siglos en Europa, tuvo un éxito casi total. En pocos años liquidó un tercio de ese pueblo gracias a la sistemática técnica industrial de la muerte. Ese plan recibió el apoyo del líder árabe de Palestina Haj Amin el-Husseini, gran mufti de Jerusalén. Este clérigo fanático, que espoleaba a destruir las comunidades judías porque importaban costumbres "degeneradas" como la igualdad de la mujer, la apertura de teatros y orquestas, la edición masiva de libros, los ideales de la democracia y el socialismo, se ofreció a colaborar con "la solución final". Viajó a Berlín por un largo período y prometió erradicar cada judío de Palestina y sus alrededores "con los métodos científicos del Tercer Reich". Planificó erigir otro Auschwitz en Nablus, sobre las colinas de Samaria. Su lema, difundido por radios nazis, fue: "Mata a los judíos dondequiera los encuentres, para agradar a Alá y la historia". En sus Memorias confiesa: "Nuestra decisión fundamental era colaborar con Alemania para hacer desaparecer el último judío del mundo árabe. Yo pedí a Hitler que me ayudase en forma explícita a resolver esta cuestión en base a nuestras aspiraciones raciales con los métodos innovadores puestos en marcha por Alemania. El me dijo: "Esos judíos son suyos". Yasser Arafat lo citaba como "nuestro héroe".

Los refugiados
Debemos tenerlo en cuenta, porque este héroe fascista cometió un grave error contra su propio pueblo. No sólo se negó a aceptar la Partición decidida por las Naciones Unidas del 29 de noviembre de 1947 para el nacimiento de un Estado Arabe y uno Judío que viviesen lado a lado y en fraterna colaboración, sino que tuvo una "idea genial" al estallar la guerra de la Independencia de Israel contra el Mandato británico y seis ejércitos árabes decidieron invadir el territorio para aplastar al flamante Estado. Esa idea lo llevó a ordenar que sus hermanos abandonasen Palestina rápidamente para permitir que Siria, Irak, Líbano, Egipto, Arabia y Transjordania pudiesen empujar a los judíos, rápida y cómodamente al mar, donde serían ahogados. En los archivos del Foreign Office existen documentos sobre los judíos que detenían a columnas de fugitivos árabes palestinos y les pedían quedarse, porque la guerra no era contra ellos, pero estos pensaron que se trataba de una estrategia para usarlos de escudo y frenar el impulso de los invasores. Más de la mitad de los árabes que abandonaron sus hogares "por unas semanas", como prometía el Mufti, no vieron a un solo soldado judío.
El odio árabe aumentó en forma sustantiva cuando fueron derrotados. No los había vencido una potencia colonial, sino una comunidad minúscula que ni siquiera contaba con un solo tanque ni un solo avión. Nadie les quería vender armas, porque no se vende nada a un cadáver inminente. Los judíos -el pueblo más inerme del planeta, que acababa de ser humillado y reducido a escombros por los nazis, que no sabía defenderse de los pogroms centenarios, que fue expulsado de tantos sitios de forma grosera e impune, al que le cerraban los puertos incluso después del Holocausto-, pudieron triunfar. Era una insoportable herida al honor árabe y puso en marcha una febril venganza mediante la expulsión de casi todos los judíos residentes en países árabes. El sueño de Hitler de conseguir países Judenrein (limpio de judíos), fue un logro árabe. Comunidades arraigadas desde hacía miles de años debieron partir de inmediato, con una mano delante y otra atrás. Los puertos del mundo no los dejaban entrar por "indeseables" y fueron al joven Estado de Israel que, pese a la desigual guerra, la falta de viviendas y alimentos, los acogió e integró.

Caldo de odio
Los refugiados árabes, en cambio, fueron aglutinados en campos eternos desde los cuales no podían salir, excepto en Jordania. Recibieron ayuda internacional multimillonaria y se convirtieron en el único caso de refugiados sin solución. Desde la primera Guerra Mundial en adelante no hubo dos, tres o diez millones de refugiados, sino cientos de millones. Todos, absolutamente todos, consiguieron resolver su problema. La única excepción ha sido la de los refugiados árabes, cuyo número es parecido al de los refugiados judíos expulsados por los países árabes.
Como dijimos hace un momento, los judíos expulsados pudieron rehacer sus vidas en la pequeña Israel, pero los árabes fugitivos no la pudieron rehacer en medio de veinte Estados árabes con enormes extensiones y una obscena riqueza petrolera. Encerrados en campos ofensivos, su nutrición diaria fue el resentimiento exclusivo contra Israel. Su tragedia fue atribuida sólo a los judíos, no al error de haber violado la resolución de las Naciones Unidas en 1947 o haber acatado la orden del lunático Mufti. En 1948, con el nacimiento de Israel, pudo haber nacido el Estado árabe palestino, se pudo evitar que hubisen refugiados árabes y más refugiados judíos. Por sobre todas las cosas, en la región se hubiera expandido la modernidad y prosperidad que sólo fogoneaba Israel.

Síntesis
En síntesis, el odio a los judíos (ahora dicen "los sionistas" o "Israel", para disimular su antisemitismo), empieza con la acusación de haber distorsionado la Biblia y negarse a aceptar a Mahoma. Pero se incrementó en forma radical cuando se puso en marcha la reconstrucción del Estado Judío debido al shock que producía la fresca cultura moderna en el liderazgo reaccionario que prevalecía en la zona. El odio tuvo un empuje adicional, como vimos, al ser derrotados varios ejércitos árabes por el pueblo más débil y despreciable de la historia. Por último, el odio se siguió cultivando desde los campos de refugiados, verdaderas cárceles sostenidas con la millonaria dádiva internacional dentro de los ricos Estados árabes, para mantener encerrados a los "hermanos" de Palestina y usarlos como peones políticos. Esto no es una frase, sino una condenable realidad: cuando empezó la explotación petrolera intensiva en Libia y Kuwait, por ejemplo, sólo se permitía que fuesen hombres palestinos solos y que su familia permaneciera en los campos como rehén, para asegurar su regreso.

El odio contra los judíos e Israel es tan alienante que les impide discernir por dónde pasa el camino que los llevaría a la paz y la felicidad. Por eso Golda Meir pronunció su famosa reflexión: "Podemos perdonar a los árabes por asesinar a nuestros chicos. No podemos perdonarlos por forzarnos a matar los suyos. Sólo tendremos paz con los árabes cuando ellos quieran más a sus hijos de lo que nos odian a nosotros". Por desgracia, ahora es peor. Incluso algunas madres bendicen a sus hijos cuando se atan cinturones con explosivos para suicidarse en una operación criminal. Para llorar de espanto.

La narrativa embustera
Con la técnica del "miente, miente que algo queda", los antisemitas buscan imponer la versión de que el Estado de Israel es un producto artificial del Holocausto y fue "creado" de la nada por las Naciones Unidas. Falso, basta leer la prensa de entonces. La construcción del tercer Estado judío (los dos primeros están descriptos en la Biblia) empezó de forma intensa en el último cuarto del siglo XIX, cuando todavía era dueño del Medio Oriente el Imperio Otomano y no había nacionalismo árabe, surgido recién en Siria a principios del siglo XX. El territorio era un desierto, como lo atestiguan viajeros de la talla de Mark Twain o Pierre Loti. El flamante movimiento sionista (movimiento de liberación nacional y social del pueblo judío) creó en 1903 el Keren Kayemeth Leisrael para reacaudar dinero con el cual comprar a los effendis árabes radicados en Beirut o Damasco sus pobres tierras palestinas y erigir los primeros kibutz en forma legal. También se usaba parte del dinero para una campaña frenética de forestación, la primera en la historia, que aún los Partidos ecologistas no se atreven a reconocer por miedo a la reacción árabe-musulmana. El Imperio Turco miraba con sospecha estas actividades de crecimiento acelerado, máxime cuando Palestina era parte del marginal y pobrísimo Vilayato de Jerusalén.

En 1909 nació Tel Aviv sobre dunas de arena. En la década del ´20 los pioneros judíos fundaron la Universidad Hebrea de Jerusalén, entre cuyos primeros gobernadores de honor figuraron Albert Einstein y Sigmund Freud. También se creó la primera Orquesta Filarmónica del Medio Oriente, inaugurada por el director antifascista Arturo Toscanini. Surgió el famoso teatro Habima. Se estableció un Instituto de Ciencias en Rehovot, la Universidad Técnica en Haifa y la Escuela de Artes Bezalel en Jerusalén. Se fundó la Histadrut, primera y ejemplar central obrera del Medio Oriente. Se multiplicaron los kibutzim, las aldeas y las ciudades, se tendieron caminos, abrieron puertos y fundaron instituciones educativas.

Vastas extensiones desérticas se cubrieron con el manto esmeralda de los naranjales. Las colinas pedregosas y ardientes de Judea, devastadas por los dientes de las cabras y el abandono de siglos, empezaron a ser embellecidas por el color de los pinos. El pantano del extremo norte, Hula, generador de una epidemia sostenida de paludismo del que no se salvaba nadie, ni David Ben Gurión, fue desecado. La febril actividad judía inyectó a ese pequeño país más prosperidad del que existía en los grandes vecinos. Y, sin embargo, aún no se había producido el Holocausto ni las Naciones Unidas tomaron cartas en el asunto, como afirma la narrativa embustera que pretende quitar legitimidad a Israel.

Ojitos de rata
El presidente de Irán, Mahmud Ahmadinejad, el hombrecito de la sonrisa cínica y los ojitos de rata, envió una misiva de diez folios a Angela Merkel, canciller de Alemania que, luego de ser traducida, provocó un ataque de náuseas. Ella decidió no contestar. El iraní pedía la obscena colaboración de Alemania para destruir a Israel y el judaísmo, autores de todos los males que aquejan al mundo. Los considera el mal absoluto, capaz de las peores atrocidades.

No debería sorprender la analogía entre los desfiles nazis y los desfiles de Hezbollah y el Hamás. Apelan a la hipnosis totalitaria de las masas y la exaltación del odio. Amenazan con sus armas y convocan a los niños. "La diferencia entre Israel y Occidente con nosotros –ha dicho el líder del Hezbollah- es que ellos aman la vida y nosotros la muerte". Para que no haya equívocos, Nasrallah suele gritar: "¡Amo la muerte!" Las SS usaban trajes negros y calaveras, también amaban la muerte y consiguieron su objetivo: 50 millones de cadáveres en Europa, además de la ruina total de Alemania. El ayatollah Rafsanjani lo ha confirmado: "Con nuestra bomba atómica mataremos los 5 millones de judíos de Israel, y aunque Israel pueda enviarnos bombas de respuesta, sólo mataría 15 millones de iraníes, cifra despreciable ante a los 1.300 millones de musulmanes que somos en el mundo".

Los ojitos de rata y sus patrones de la teocracia fundamentalista islámica quieren asesinar, porque es su ideal superior. Empiezan con los judíos y seguirán con el resto, como lo hicieron sus maestros del Tercer Reich. Por eso Khomeini mandó oleadas de niños iraníes a la muerte para desmoralizar a los tropas de Irak, por eso Hezbollah y Hamás lanzan sus cohetes desde zonas civiles, incluso escuelas y hospitales, para que la respuesta los asesine y puedan exhibirlos como prueba de la inclemencia israelí. Los cobardes organismos internacionales no han repudiado a Hezbollah y Hamás por el crimen de usar escudos humanos, lo cual puede tener consecuencias horribles. Los medios de comunicación tampoco han mostrado desde donde disparan y son cómplices, por lo tanto, de falsificar la información. Debemos recordar que este retroceso ante el salvajismo no lo hará entrar en razones, sino que lo excitará.

(sigue...)
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Ahora que parece que habrá Paz Empty ¿Y la moda del pañuelo palestino?

Mensaje por Admin Dom 18 Ene - 23:26



ANTONIO BURGOS


Sábado, 17-01-09


¿Los venden en Zara o es en oportunidades del Cortinglés? ¿O son los manteros de los discos falsificados los que los venden por las esquinas? En algún sitio los tienen que vender. O quizá los regalan. Hablo de los pañuelos palestinos. De la ridícula moda de ponerse al cuello un pañuelo palestino, para ser más progre y más antisemita que la leche que mamó Yasser Arafat.


En España hay mucha libertad. Por las que hilan. Tú vas por la calle con tu pañuelo palestino, al modo de bufanda del Real Madrid pero sin dimisión de Calderón, y nadie te dice nada. Quedas como lo más progre. Como el plenario del Sindicato de la Ceja. Hay tanta libertad en España y somos todos tan progres, que las ciudades se llenan de gente con el pañuelo palestino, y en Málaga hasta se los ponen en un partido de baloncesto para protestar contra el Maccabi de Tel Aviv, que jugaba contra el Unicaja.

Pero si quieren medir la libertad que de verdad hay, salgan a la calle llevando en el cogote el gorrete judío al que me parece que llaman kipá. Si se atreven. O salgan con esa especie de bufanda blanca que se ve en las bodas judías de las películas americanas. ¿Se imaginan la que pueden liarle a usted esos amantes de la libertad (tururú) que pululan por ahí con su cufiya, disfrazados de palestinos? Si le ven con un símbolo judío, de momento le llamarán asesino, después genocida y al final, ya veremos. ¿Pero no quedamos en que el genocidio era el que había perpetrado Hitler contra el pueblo judío? No, eso era antes, usted ve poco el telediario de La 1. Ahora no hay más genocidio oficial que el de la franja de Gaza.

¿Qué pensaríamos si la gente, para dárselas de progre, saliera a la calle luciendo una chapela sobre el pasamontañas de los terroristas encapuchados de la ETA? Esto de los pañuelitos dichosos es aproximadamente así. Los chavales llevan la misma prenda del uniforme oficial de los terroristas islamistas de Hamas, como solidarizándose con ellos frente a los judíos. Si les valiera, volvían a expulsar a los judíos de España. Sin caer en la cuenta de su enorme contradicción: piden lo mismo que los Reyes Católicos, pero desde su empacho de progresía. Como no pueden expulsar a todos los judíos, se conforman con pedir que echen al embajador de Israel. Se las dan de progres, pero caen en la tradición más rancia. Mucho pañuelo absurdo palestino y mucha gaita, pero vuelven a despertar el viejo antijudaísmo de la Inquisición española. Para éstos los judíos son los que entonces mataron al Señor y ahora bombardean Gaza.

Si por ellos fuera, en los pasos de Semana Santa pondrían a los judíos con mayor cara de mala leche todavía que la que lucen desde tiempo inmemorial.

Y más contradicciones. Mucho pañuelito palestino, pero estos progres de mierda me recuerdan muchísimo a Franco, que le echaba la culpa de todo a la conspiración del judaísmo internacional. Paradójicamente, satanizan al sionismo justo desde el mismo bando que Franco: desde «nuestra tradicional amistad con los países árabes».

De hoz y coz, ZP ha colocado oficialmente a España frente a Israel y al lado de los terroristas palestinos. Olvidando que unos como éstos fueron los del 11-M. Para mí que la causa es que ZP, de niño, se hartó de ver judíos en los pasos de Semana Santa de su León natal. Y allí, como en Zamora o en Sevilla, los judíos de los pasos son los que tienen la cara de más mala leche del mundo. Ahora, que si en vez de judíos fueran palestinos, prontito iban a consentir que siguieran con esos caretos en los pasos.

Entre una democracia como el Estado Israel y unos terroristas zarrapastrosos, aquí nos ponemos del lado de los terroristas y además adoptamos su pañuelo como uniforme oficial del Gremio de la Progresía. No importa que ese pañuelo sea el símbolo del fundamentalismo islamista que se pasa los derechos humanos por el forro de la chilaba. Los progres lo pasean como si fuera un pañuelo de Hermés, como la última moda. Hasta los telediarios de la TV pública española están hechos con pañuelito palestino. Presentar a los terroristas como unos héroes es llevar el pañuelo dentro de las armas de destrucción masiva de la verdad, en la manipulación contra el democrático Estado de Israel.
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Mensaje por Admin Dom 18 Ene - 23:23

me parecio bueno poner este epigrafe nuevo para poner algun articulo de la Prensa bien sea por su contenido, por su certeza, por su curiosidad y empezaré con uno que envio la esposa de un amigo que todos recordamos y que me transmitieron.
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